Photographe 17

Photographe 17
Récit envoyé par un ami photographe.

Arrivés dans le donjon, je lui désigne une table où sont placé aux extrémité des bracelets.
« Va t’allonger là ! »
Elle se met à plat ventre sur la table. Je n’avais pas prévu qu’elle se place ainsi, mais qu’importe. J’imagine d’autres nouveaux préliminaires en quelques secondes pour débuter cette séance BDSM. Ainsi placées, ses fesses m’étaient offertes et je n’allais pas me faire prier pour  la fessée comme il se doit de cette contrariété.

Je commence à l’attacher, lentement tout en lui donnant quelques claques légères sur les fesses. Julia ne bronche pas. Je me recule pour admirer ma belle soumise et prend quelques photos. Puis je met mon appareil en prise auto et commence à lui rougir les fesses au martinet en augmentant la force des coups progressivement. Julia serre les dents pour ne pas crier et j’amplifie les coups pour l’entendre crier sa douleur.

Julia n’y tient plus et se met à crier à chaque coup. Ses fesses ont pris une jolie couleur vermillon. J’arrête de la fouetter et teste son degré d’excitation en plongeant mes doigt dans sa chatte.

Je constate qu’elle dégouline de cyprine et la fouille de son coquillage la fait gémir de plus bel. Je décide de m’attaquer à sa rosette. Je stimule sa zone anale et pénètre l’anneau étroit de deux doigts. Elle se crispe mais se laisse faire. Comment pourrait-il en être autrement d’ailleurs.

Je la détache et lui ordonne :
« Sur le dos salope ! »
Je l’entrave à nouveau. Je ressens une forte émotion de la voir ainsi écartelée et offerte. Mais je reste pro. Elle ne doit pas voir mes émotions. Julia est à nouveau complètement à ma merci, sans être en mesure de s’échapper.

Doucement, je parcours son corps avec les lanières du martinet. Julia ferme les yeux. Les lanières glissent sur son seins gauche. Je la sens se contracter. J’en joue et contourne son seins, puis l’autre. L’ambiance est pesante et forte en sensations. Les lanières parcourent ensuite ses cuisses pour remonter vers son sexe et glisser entre ses lèvres trempée. Julia émet un gémissement presque inaudible à cet instant.

Là, je saisi un bandeau et le passe autour de sa tête pour lui ôter la vue. Elle se retrouve alors ainsi, pieds, mains attachés et yeux bandés. C’est alors que je commence à l’exciter. Je m’avance près de sa bouche pour qu’elle sente que je suis là. Puis je l’embrasse dans son cou, lui faisant un magnifique suçon qu’elle aura du mal à cacher pour se rendre au travail. Je vois sa magnifique poitrine se soulever de plus en plus rapidement sous mes caresses. Je sens qu’elle prend plaisir à ne pas savoir ce qui se passe, ne pouvant se concentrer que sur ses autres sens.

Je décide alors qu’il est temps de durcir les caresses. Je me mets à malaxer ses seins et à jouer avec ses tétons en les pinçant et en les étirant jusqu’à entendre ses plaintes. Ses tétons dressés et dures, j’y place deux pinces métalliques qui lui extirpe un grognement rauque.

Je décide qu’il est temps pour elle de la soulager. J’att**** alors le Fairy Black Exceed et le pose sur son clito. Dès son démarrage, cela ne manque pas de la surprendre. Elle se met à se tortiller, gémir et dégouliner de cyprine. Elle ne peut pas échapper à cet orgasme forcé. L’intérieur de son vagin se remplit de ses sécrétions. Mais je coupe l’engin au moment où son orgasme arrive. Elle en hurle de douleur et de frustration. Le visage de Julia est transformé. Je la laisse un instant, jouant entre action, douceur et brutalité. Autant vous dire que la suite va être très explosive. Je me saisis d’un fouet et commence a appliquer mes coups sur cet adorable femme soumise. Ses cris, ses contorsions ne font qu’augmenter l’intensité de mes coups et fait monter mon excitation crescendo.

Malgré le fait qu’elle se débatte, je ne perds pas mon objectif de tête. La pousser à ses limite et l’entendre dire le mot…. ROUGE….! Aux rythme des coups, Julia tente de se libérer, mais c’est peine perdue.

Je bande comme un fou. Julia résiste. Pour une débutante, elle a de l’endurance. Les coups pleuvent aux endroits les plus intime de son intimité sans qu’elle ne me dise d’arrêter.

J’arrête de la fouetter et lui met ma queue dure comme du bois au fond de la gorge. Je baise sa bouche et elle répond favorablement à ma pénétration buccale.

J’éjacule au fond de sa gorge et elle avale avec gourmandise. Une foi remis, tout en la laissant attaché, je la fait jouir avec un gros gode vibrant. Elle hurle tant dans son orgasme trop longtemps contenu qu’elle s’en évanouie. Sur le coup j’ai peur , mais je vois sa belle poitrine remuer en rythme.

Je la détache et nous restons un instant tout les deux hébétés. Puis Julia avec sont superbe sourire habituel me dit :
« Alain tu as été merveilleux. Malgrés une certaine v******e et des douleurs à la limite du supportable, je n’ai jamais autant joui. »

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