Cousins…, cousines, tante ( 9)

Cousins…, cousines, tante ( 9)
Le lendemain samedi, dernier jour seul avec Reb et ma tante… Il devait être tard, le soleil, suintant à travers la fenêtre, m’aveuglait.
Ouvrant les yeux entièrement, je sursautai… Devant moi, assise sur le lit, ma cousine jouant avec ma demi-molle, à l’enrouler autour de ses doigts. Elle ne put le faire longtemps, car aussitôt, l’érection qui s’ensuivit, l’empêcha de continuer son jeu naïf. Bon, on va dire, pour ne pas vexer la jeune fille, que c’est une érection du matin, due à l’envie de faire pipi… Aussitôt, Rebecca me relâcha, comme si elle s’était brûlée…
Elle prit un air suspicieux, et m’interrogea :
– Dis donc cousin, c’est bien toi qui m’a mise au lit cette nuit… ? .. Ma mère m’a assuré que tu m’as portée, seul… .. Quand on me crache sur les dents du fond, j’aime être consentante et réveillée… ! .. Non…, donc, comment expliques-tu, qu’en me réveillant ce matin, j’avais un goût pâteux dans la bouche et un liquide couleur anis encore coincé dans une dent creuse… ? .. De plus, le goût étaitt pratiquement le même que celui que Monsieur m’avait inoculé dans l’après midi, juste avant que n’arrive ma mère… .. C’était ma première turlute…, je n’oublierai jamais le goût de ce jus de couilles gouleyant entre mes amygdales… ! Espèce de gros cochon !!! .. Mais je ne t’en veux pas, bien au contraire…, je me suis sentie femme ! .. Ah…, au fait, ce soir, c’est la dernière nuit et je devrais avoir mes règles dimanche ou lundi…, tu veux bien que l’on se dépucelle ensemble… ? .. Ce sera un souvenir extra…, non ?
– Je te rejoindrai, dés que maman dormira et tu me mettras ta grosse bite bien au fond de ma grosse chatounette, tu veux bien ?
Je répondis au deux questions :
« Ben…pour le goût, je pense que t’as dû faire un renvoi de la pipe que tu m’avais faite avant…, enfin, sûrement… ! .. Pour le dépucelage…, Ok…, mais, attends bien que ma tante dorme… !
Ma cousine se pencha sur mon gland, le prit en bouche et me suça tellement fort, qu’un cri m’échappa du plus profond de mes balloches… Ma tante hurla de la cuisine :
– C’est prêt les enfants…, moi, j’ai déjà déjeuné…, je vais à la piscine !
Nous descendîmes, ma cousine, assise près de moi, d’une main trempait sa tartine, de l’autre me tartinait les couilles sans relâche, en m’adressant son sourire d’ingénue constipée. Après le repas de midi, les filles s’en allèrent, disant qu’elles avaient à faire dans la salle de bains, mais revinrent très vite. Ma tante avait l’air ennuyée, et brandissait un rasoir et des ciseaux, tandis que ma cousine, baladait un blaireau et une bombe de savon à raser. Ma tante plaça sa touffe devant mes yeux, me cachant tout le soleil et faisant une moue inconsolable, faisant cracher sans même bander la bite d’un centenaire amorphe et asthmatique :
– Dis mon neveu…, ta cousine se sent incapable de me raser la vulve…, toi, tu te rases déjà, tu ne veux pas me le faire ? .. Allez…, un bon geste, tu pourras te rincer l’œil…, et même les deux !
J’eus beau jurer n’avoir jamais fait la chose, les filles me jetèrent les instruments et s’allongèrent côtes à côtes, jambes pliées, offrant ce qu’elles avaient de plus tendre à mon regard. Nath, comme si je lui coupais un ongle incarné, me dirigeait…
– Voilà…, c’est bien, coupe avec les ciseaux avant, les poils les plus longs et n’oublie pas mon anus, ça fait pas propre, sinon… .. Si je chope un mec bientôt, j’aurai la honte avec le cul tout poilu… ! .. D’ailleurs, faut que j’y pense…, ça fait bien un mois que je n’ai pas été mise au taureau… ! .. Et avec ta grosse queue toujours au garde à vous, je dois reconnaître, que ça me démange au fond de l’utérus… !
Cela fit rire mes deux salopes…
Je finis le travail et la chatte de ma tante m’apparut telle une constellation au milieu du néant… Son clito était au moins trois, voire quatre fois plus long et plus gros que celui de sa fille et sa fente, me paraissait pouvoir contenir une dizaine de bites comme la mienne et sans chausse-pied. J’allais me lever, quand Rebecca réclama :
– Ben…, et moi ? J’ai les poils qui repoussent déjà, tu veux bien me savonner et me passer un coup de rasoir ?
Bon je n’en voyais pas l’utilité, mais j’obéis, N’allait elle pas faire de moi un homme cette nuit ? Une fois terminé, les deux commères se montrèrent l’une à l’autre, afin d’admirer mon œuvre et se félicitèrent d’avoir choisi un merlan à la hauteur. Maintenant, elles n’avaient plus de raisons de se gêner et elles gisaient sur leur serviette, les cuisses largement ouvertes, me narguant de leur intimité osée. Merci pour mes couilles…, elles ballottaient dans leur jus sous pression. Arriva le soir, ma tante alla se coucher, tandis que ma cousine, me suivit jusqu’au pas de ma porte… Elle me donna une tape appuyée sur les fesses et me susurra :
– À toute, grosse bite, dès que ma vieille dort, j’arrive, je te suce avant de m’enfourcher pour une cavalcade historique !
J’attendis…, j’attendis…, j’attendis et à la fin, m’endormis.
Je fus tiré des nuages par une sensation bizarre, mais agréable tout de même… De toute évidence, une bouche assoiffée, me labourait la queue avec ferveur et abnégation. Y avait pas à dire…, ma cousine tenait vraiment à ce que je bande à mort afin de lui exploser la chatte… Elle me fit un truc à me faire ouvrir les yeux, et à lui prendre la tête entre les mains, pour qu’elle continue :
– Ooohhh…, Reb, putain, t’es devenu pro ou quoi ? Si tu continues, mes couilles vont gicler en même temps que mon jus…, wahouu !!! Ralentis ou j’hurle !
La réponse me stupéfia et si la caresse qui m’était donnée à l’instant n’était pas féerique, onirique et homérique, j’aurais sûrement débandé… :
– Bonsoir mon neveu…, hé non, ce n’est pas ma fille… déçu ?
Elle reprit aussitôt son examen oral et j’abandonnai aussitôt, le rendez-vous de ma cousine.
Sa langue s’enfourcha dans mon trou de balle et je crus défaillir… En fait, je ne pense pas avoir perdu au change. Elle la fit glisser le long de ma queue, elle s’assied sur mon bas-ventre, et m’exhibant ma propre verge, elle murmura :
– T’as vu…, moi aussi j’ai une queue, elle est belle, hein ?
Elle leva une jambe comme un chien faisant pipi contre un arbre et, après avoir frotté le gland incandescent sur son anus, puis le long de sa putain de fente dégoulinante, telles les chutes du Niagara à la mousson, elle s’enfourcha jusqu’aux couilles sans même dire “s’il vous plaît”… Une chaleur intense me fit tourner de l’œil, je bavais dans sa bouche, essayant de lui sucer la langue qui tournoyait telle une girouette…
Elle accéléra et ses fantastiques coups de reins me firent sortir les yeux des orbites. Elle m’écrasa les ballasts une dernière fois et la sauce monta dans la cheminée « Joyeux noël !!! ».
« Tat.., euh Nath…, j’ai mon jus de cou…, mon sperme qui arrive, je n’en peux plus, mes coui…, testicules vont t’exploser dans ton utérus… ! .. Je vais être papa…, attention !!!
Ma tante me mordilla le lobe de l’oreille et me souffla :
– Fais les cracher tes grosses ptites couilles de ex puceau, t’inquiète j’ai un bon stérilet, mon canard… ! .. Vas-y…, inonde-moi la chatte, explose- la !
À ces mots, je nouai mes doigts derrière ses fesses et, d’un coup de reins assassin, j’envoyai mon foutre lui tapisser les ovaires jusque derrière les oreilles. Sa bouche se colla à la mienne et, tout le temps de l’expulsion manu militari, je collai mon bas-ventre sur le sien, pendant qu’elle me suçait la langue, comme si c’était ma bite. Elle resta longtemps dans la position de la grenouille sodomisée par un troupeau d’éléphants, puis se leva, un bruit de bouchon de bouteille qui saute se fit entendre, elle me suça le gland, à la recherche d’une saveur oubliée et je vis ses très belles fesses s’en aller. Avant de passer la porte, sans se retourner :
– Tu m’excuseras, mon neveu, mais tu m’as tripoté la chatte une heure pour me raser et puis, te voir ainsi en érection comme un taureau qui n’a pas baisé depuis dix ans, ça m’a révolutionné la vulve… ! .. N’empêche, pour une première fois…, j’ai encore les trompes toutes émues !
Crevé, je m’endormis comme un homme…, hé oui, j’en étais un, maintenant.
J’ouvris un œil, ma bite encore endolorie par ma tante, se faisait sucer de nouveau, je réagis :
– Ooohhh, non, tatie, il fait à peine jour et puis je les aies vid… !
Aussitôt, une voix que je connaissais :
– Non mais…, tu divagues…, ce n’est pas ma mère…, c’est moi, je ne t’ai pas oublié, mais je me suis endormie, j’ai été faire pipi et je me suis souvenue… ! .. Bon, ben…, je crois que tu bandes bien, allez… !
Comme sa mère, elle me grimpa dessus et se laissa lourdement tomber le long de ma queue jusqu’aux couilles…
– Wahouuo, c’est génial, ça y est, nous ne sommes plus puceaux, c’est génial…, mais je fais quoi, maintenant… ?
Sans lui répondre et au bord du sommeil, je saisis ses petites fesses dans mes mains et en trois coups de bite, je lui arrosai le vagin de ce que mes cacahuètes avaient pu fabriquer en quelques heures. Je voulus la renvoyer, mais elle me re-suça, pour que je lui déflore aussi le cul. Cette fois-ci, je la sentis passer aussi, elle était étroite comme une porte de prison. Lorsque je finis de lui noyer l’intérieur du colon, je crois que je défaillis et m’endormis sans même voir si elle était partie ou pas.
Le lendemain, j’émergeai vers midi, mes parents étaient déjà là et je me fis sermonner pour ne pas profiter d’une si belle journée et évoquèrent même, vu ma mine, que je ne me sois pochardé comme une huître… Voyant que cela tournait mal pour moi, ma tante prit ma mère à part, et lui bafouilla dans l’oreille je ne sais quoi… À partir de là, mes parents furent plus indulgents et nous fêtâmes mon anniversaire dans la joie. Avant de monter dans la voiture, ma tante et ma cousine, sans aucune vergogne, me caressèrent l’entrejambe sans se soucier du “qu’en dira-t-on”. Je montai derrière, comme à l’accoutumée, mais à la première station d’essence, ma mère descendit pour un pipi. Au lieu de rejoindre son mari a l’avant, elle me poussa derrière mon père et s’allongea sur mes cuisses. Je pensais que fatiguée, elle voulut faire un petit somme… Elle laissa tomber sa petite culotte qu’elle tenait dans sa main et certainement retirée dans les toilettes, pivota vers moi, leva la jambe et la passa par la fenêtre ouverte, sa robe légère tomba sur son ventre et son barbu m’apparut dans toute sa splendeur et humidité. J’avais le souffle coupé, mon père, semblant de rien, regardait la route, tandis que maman entreprit de sortir mon zob de mon short. Voyant la difficulté, elle n’hésita pas à me l’abaisser, en même temps que mon slip qui se retrouvèrent sur mes chevilles. La vue de la chatte de ma mère partiellement épilée, me fit bander la verge comme une antenne télescopique. Elle me souleva les prunes, et commença à me les malaxer… Puis, mon énorme gland disparut dans sa bouche…, et je compris immédiatement les propos de ma tante lorsqu’elle me disait que sa sœur était surnommée “la reine de la pipe”. Dans un temps record, ma lave se déclencha et maman me téta comme un bébé buvant au sein pour la première fois… Impossible de retenir mes cris plus longtemps… La bouche maternelle ressemblait à un volcan en furie. Inquiet pour mon père, je vis son sourire dans le rétro et au lieu de récriminer, ce dernier :
– Elle suce mieux que ta tante et ta cousine réunies, non ? .. C’est pas pour rien que je l’ai choisie, tu sais… .. Maintenant, on va pouvoir en faire des choses à la maison… !
Maman finit de me sortir de son four et profitant que je bandais encore, me décapuchonna sans hésiter et commenta pour mon père :
– Oohh oui…, elles me l’ont bien dépucelé, tu sais…, je n’aurai pas fait mieux… ! .. À mon avis, il a eu droit au petit…, tu vas voir, mon petit lapin, maman se sert de son cul aussi bien que de sa bouche… ! .. Bon, je fais un petit somme avec la bite de mon fils dans la bouche, je dors mieux ainsi… ! .. Faut que je me repose, je crois que ce soir, on va me remplir tous mes trous… ! .. Ça me rappellera ma jeunesse !
Maman m’avala, me téta un moment, et s’endormit. J’avais beau me pincer, moi, je ne rêvais pas… Super !!!

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